La vingtaine : l’âge de la réalisation et de l'autonomie

A l’âge de la vingtaine se manifeste toujours un désir de réalisation et d'autonomie. Le jeune qui rentre dans l'âge adulte éprouve un désir de créer et de se prendre en charge. Ce désir peut être exploité ou pas d'un jeune à un autre. Comment ne pas faire la faute de ne pas l’exploiter ? Et comment mieux l’exploiter ? 


Dans cet article, tu vas pouvoir comprendre la manifestation, l’exploitation possible, et les contraintes du désir de réalisation et d’autonomie dans l’âge de la vingtaine.


La manifestation du désir dans l’âge de la vingtaine 

L’envie de réalisation est souvent accompagnée d’un besoin d’être important. Si nous mettons l’accent sur le verbe «  se réaliser »  qui signifie «  prendre conscience des possibilités qui sont en soi » et qui porte comme synonyme «  se faire exister » ; cela veut dire que le jeune a un sacré envie de s’intégrer dans la société, de commencer à bâtir son statut  et de se faire valoir. Ainsi sera décrit le désir dans la vingtaine.

Un/une  jeune d’une vingtaine d’années  possède en lui-même/elle –même l’envie, le désir, le besoin qui peut se résumer  à :

  •  Rentrer dans la vie d’adulte (Autonomie)


  •  Apporter sa part dans la vie sociale (Réalisation)


C’est à partir de la vingtaine que bon nombre de jeunes brûlent d’envie de réalisation. Ils deviennent dynamiques et motivés. C’est une époque vraiment précieuse.

Cependant l'âge de la vingtaine est influencé par l’adolescence et influence lui-même,  l’âge adulte.  Dépendant de  la vie d’adolescence d’un individu naît la vie de jeunesse. Elle peut l’affecter positivement ou négativement. De même pour la relation vie de jeunesse et vie d’adulte. Cette influence entre vie d’adolescence et de jeunesse est parfois parmi les contraintes au désir dans la vingtaine que nous aurons à voir plus bas. 

Dans le  cycle de vie, la jeunesse est une période où l’individu possède beaucoup d’énergie. Donc un jeune responsable est capable de réaliser de grandes choses. De plus, exploiter sa jeunesse revient souvent à gérer cette énergie pour une bonne cause. Cause souvent bonne que si elle garantit une meilleure vie  plus tard

L’exploitation du désir de réalisation et d'autonomie 


Souvent les jeunes n’arrivent pas à bien jouir de cette pulsion qui est en eux. Voilà quelques conseils  qui pourraient aider : 

  1. Lis beaucoup plus souvent afin de stimuler ton cerveau, par conséquent tu auras de meilleures idées de réalisation.


  1. Identifie tes capacités (dons et talents) et développes-les à fond.


  1. Utilise ton temps et argent pour vous instruire et pour te développer personnellement.


  1. Epargne et investis.


  1. Développe tes relations 


Peu importe le but fixé ou l’œuvre à réaliser, si tu te concentres sur ton objectif et t’appliques ces conseils, tes désirs seront réalisés. Car quand vous avez pleinement conscience de ce désir en vous, vous l’exploitez beaucoup mieux. 

Les cas apparents d’exception

Les cas qui contredisent ce désir à l’âge de la vingtaine sont très diversifiés et complexes. Ces cas sont souvent causés par un blocage du désir. Par exemple, la situation du pays, une parentalité intensive lors de l'adolescence... Ce blocage est souvent à l'origine de ce qu'on appelle la crise de la vingtaine.

Ceci peut même être un sujet d’étude : « Quelles sont les contraintes du désir de réalisation et d'autonomie dans l’âge de la vingtaine ? » Les constats sont nombreux. Par exemple, les jeunes de 20 ans qui ont des parents qui répondent toujours à leur besoin, apparemment sont moins aptes à bien exploiter ce désir. De même, une panoplie d’hypothèses peut  naître des constats.

Voir l'article : C'est quoi la crise de la vingtaine et comment y faire face?


En conclusion, exploiter sa vingtaine  est  de   jouir de cette force qui vient avec la jeunesse de la plus belle manière qui existe. Il y a lieu de préciser  aussi que tout jeune demeure en eux l’envie d'autonomie et de réalisation, malgré  l’existence des apparences d’exceptions. Et il est plus intelligent de considérer ces apparences comme des contraintes à l’envie, au désir et au besoin.




Auteur: John Kembell Décière 


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